Quelques mois seulement après l'album « Hemophilia » GLDN revient avec un single annonciateur d'un futur opus : « Hole ».
Nicholas Goldenn, porteur du projet punk-indus , explique :
« Hole est une chanson qui parle du désespoir. C'est une exploration de la sensation d'être au plus bas et de savoir qu'il n'y a pas d'issue. Une fois que vous êtes dans cette obscurité assez longtemps, cela peut devenir presque réconfortant. Vous commencez à voir la beauté dans la douleur. Et à la fin, il y a une sorte d'acceptation qui fait que vous ne serez plus jamais la personne que vous étiez. Dans cette acceptation, il y a la liberté d'être quelqu'un de nouveau. »
GLDN existe depuis 2017. Nine Inch Nails, Korn, Evanescence, Deftones, Rob Zombie, Pantera, Puscifer et Hole, mais également des films tels que le sombre et légendaire « Suspiria » comptent parmi les influences de cet Américain qui s'intéresse aux aspects les plus extrêmes de la vie et de la mort.
Voici le classement des albums studio de NINE INCH NAILS par les abonnés d'Ahasverus-Le-Groupe.
En commençant par le meilleur...
N° 1 : The Downward Spiral (1994) - 9 voix
N° 2 : The Fragile (1999) - 5 voix
N° 3 : Pretty Hate Machine (1989) - 4 voix
N° 4 : Broken (1992) / With Teeth (2005) - 3 voix
N° 6 : Year Zero (2007) - 2 voix
Ils ont dit :
« Y'a des groupes, on reconnaît leur patte, on reconnaît leur talent mais on n'accroche pas du tout... et c'est mon cas, alors que j'adore des groupes tels Gravity Kills, Peace, Love and Pitbulls... va comprendre... » (Stan)
« Une vision du monde musical à la croisée entre désenchantement organique et désincarnation synthétique. » (Yann)
« Reznor est l'un des très grands du paysage musical dont les 90's ont accouché, influence d'une génération, touche à tout inarrêtable, génie discret à la discographie impressionnante. » (Julien)
HORSKHsemble au sommet de sa forme! Le trio qui allie electro, indus et metal, taillé pour le live ne manquera pas d'enflammer de grandes salles pour promouvoir son nouvel album BODY prévu pour le 19 janvier 2024.
Bastien Hennaut : programmation, claviers, chant, guitares (membre de PØGØ ) Briou : batterie Jordan Daverio: guitares, claviers
HORSKH nous proposait son tout premier extrait le 06 avril dernier "Interface", extrait de son futur album BODY , véritable collision entre la violence du metal et le pouvoir accrocheur de l'electro, le tout sur fond de questionnements sur les IA et la dépendance de l'être humain aux technologies numériques.
"Ce titre évoque notre rapport aux interfaces numériques. Smartphones, réseaux sociaux, applications multiples pour chaque action du quotidien, le narrateur/chanteur se met ici à la place d’une intelligence artificielle qui parle à l’humain. Cette I.A tente de l’apprivoiser avec des notifications en le déculpabilisant etc. Comme généralement dans les lyrics d'HORSKH, le sens est ouvert. L'aspect futuriste est accentué par l'univers très dark du clip et l'utilisation d'éléments 3D." (HORSKH)
Courant mai, le 24 pour être plus précise, la formation diffusait un second extrait "Tension" confirmant toujours cette collision entre la violence du metal au pouvoir accrocheur de l'electro sur de solides textures sonores. Un titre court et énergique dont le clip n'est pas sans rappeler Twin Peaks et l'univers de David Lynch.
"Tension" évoque une recherche d'équilibre entre différentes forces, différents états parfois opposés. Musicalement, c'est une version sous amphétamine d'un Nirvana passé à la sauce industrielle. Le morceau est marqué par une alternance entre des refrains très violents et des couplets mélodiques avec des textures électroniques et planantes. Il y a aussi cette idée de chercher à avancer face à un monde et des éléments en perpétuel changement, fait d’embuches et de contradictions. Il parle donc de sensations, de ressentis sans être linéaire ou même binaire dans l'approche de l'écriture. On pourrait comparer les paroles à l'univers de David Lynch, avec des images qui se suivent et qui semblent parfois absurdes, ou tout droit sorties d'un rêve." (HORSKH)
"Body Building" est le troisième single que HORSKH offre à nos esgourdes ce 13 octobre, précisant qu'il s'agit d'un titre plus électro que ses deux prédécesseurs avec une énergie explosive et une mélodie entêtante. Le tout sur fonds de mutations des matières et des corps.
"Ce morceau évoque un corps en construction qui tente des choses, qui essaie de se surpasser. Il renvoie aux étapes pour se construire soit même mentalement et physiquement, modifier son apparence, ses habitudes, ses envies et certaines fois contre les idées reçues, la société, sa famille etc.
Bien sûr, il est question du muscle et de l'apparence, qui est au cœur de notre époque, notamment dû à l'importance des réseaux sociaux et à l'image qu'on y renvoie. Mais il y a aussi l'idée de transition entre différents états. "Body Building" évoque donc la vie, son maintien et ses mutations." (HORSKH)
Très proche au niveau du son d'un Carpenter Brut dont il a fait la première partie, HORSKH délivre des ambiances très personnelles affirmant son identité et son talent à la fois sur sillons et sur planches, en d'autres termes à la fois en studio et en live.