Voici le classement des albums studio de MARILLION par les abonnés d'Ahasverus-Le-Groupe.
On commençe par le meilleur...
N° 1 : Script for a Jester's Tear (1983) - 11 voix
N° 2 : Misplaced Childhood (1985) - 9 voix
N° 3 : Clutching at Straws (1987) - 8 voix
N° 4 : Fugazi (1984) / Brave (1994) - 5 voix
N¨6 : Seasons End (1989) / This Strange Engine 1997 / Marbles (2004) - 3 voix
N° 9 : Holidays in Eden (1991) / Sounds that Can't Be Made (2012) / An Hour Before It's Dark (2022) - 2 voix
N° 12 Marillion.com (1999) / Happiness Is The Road (2008) / Fuck Everyone and Run (F E A R) (2016) - 1 voix
Ils ont dit :
« Script of à Jester Tears, Misplaced Chilhood et Seasons End... Trois albums géniaux. » (Marie)
« Fish et Steve Hogarth forment deux périodes différentes mais qui se valent tout autant et je place Misplaced Childhood et Brave en étendards respectifs. » (Yann)
« Un groupe exceptionnel et précurseur de la scene Néo Progressive des années 80. » (Alan)
Tracklist Script For A Jester's Tear :
01. Script For A Jester's Tear - 8:44
02. He Knows You Know - 5:23
03. The Web - 8:52
04. Garden Party - 7:19
05. Chelsea Monday - 8:17
06. Forgotten Sons - 8:23
« Devin Townsend c'est un peu le Frank Zappa du Metal Prog. Le mec est divin, il a un univers bien à lui, il sait tout faire et il a une voix incroyable et un jeu de guitare unique. Ce n'est pas pour rien que Steve Vai a flashé sur ce Canadien génial et un peu barjot. » (Alan)
« Devin, c'est simplement l'incarnation de ce que le Metal peut créer de plus intense, de plus fou, de plus débridé, de plus détendu, de plus définitif. » (Yann)
« Ocean Machine: Biomech, impressionnant et novateur. » (Stéphane)
« Terria est mon album de cœur, certains passages m'ont foutu les poils. » (Stan)
Djiin se lâche dans des développements débridés parfois gonflés, faisant du psychédélisme sa règle d'or. Par Ahasverus
L'aventure commence en 2015 sur le quai de la gare de Rennes par la rencontre fortuite d'Allan Guyomard (batterie) et de Johann Godefroy, premier guitariste du groupe. Ils font la connaissance de Chloé Panhaleux, une harpiste. Sa voix les interpelle, ils lui proposent le poste de chanteuse dans ce qu'ils veulent bâtir : DJIIN, pour la force hypnotique des esprits, pour la polysémie du nom selon les traditions : le bienveillant, le malveillant, la transe...
DJIIN fait du stoner rock psychédélique. Il tire ses influences de formations telles que Them Witches, King Gizzard and the Lizard Wizard, The Doors, et d'une manière plus générale du rock progressif 70’s au krautrock en passant par le doom et le heavy période Black Sabbath. Le quatuor sort deux Live avant d'enregistrer son premier album studio, « The Freak », en 2019. Puis vient « Meandering soul » en 2021. Sa personnalité se soude autour de la voix rauque de Chloé Panhaleux, sa chanteuse-harpiste.
En mai 2024, DJIIN revient avec « Mirrors » un cinq titres long comme le bras. L'artwork est de Maureen Piercy.
DJIIN indique que ces nouveaux morceaux ont été pensés comme cinq récits aussi indépendants qu'ils sont complémentaires, s'appuyant sur des thématiques fortes comme le handicap, la maladie, la psychose, les violences faites aux femmes, la vanité ou encore la mort.
L'album est conçu comme les deux faces d'un miroir, l'une lumineuse, solaire et psychédélique, l'autre torturée, sombre et douloureuse.
Ne lésinant pas sur une forte patte progressive, DJIIN se lâche dans des développements débridés parfois gonflés, faisant du psychédélisme sa règle d'or.
Il se déchaîne (« Blind »), nous entraîne dans un rock psyché moderne, envoutant et hypnotique, qui nous submerge. La violence est à l'affût, sa dissonance en bandoulière, l'ensemble est d'une liberté rare, tournant sur lui-même jusqu'à l'ivresse.
La formation rennaise propose peut-être là l'album le plus osé de sa discographie.
Toujours en mouvement mais fidèle au son Stoner, DJIIN a fait appel à Peter Deimel (Black Box Studio) pour l'enregistrement, le mixage et le mastering.
« Mirrors » est disponible depuis le 03 Mai 2024 chez Klonosphere/Season Of Mist.