Voici le classement des albums studio de WASP par les abonnés d'Ahasverus-Le-Groupe.
En commençant par le meilleur...
N° 1 : The Headless Children (1989) - 10 voix
N° 2 : WASP (1984) - 9 voix
N° 3 : The Crimson Idol (1992) - 8 voix
N° 4 : The Last Command (1985) - 7 voix
N° 5 : Inside the Electric Circus (1986) / Still Not Black Enough (1995) - 4 voix
N° 7 : Dying for the World (2002) / The Neon God - Part 1 : The Rise (2004) - 2 voix
N° 9 : Kill Fuck Die (1997) / Unholy Terror (2001) / The Neon God, Pt. 2: The Demise (2004) / Dominator (2007) / Babylon (2009) / Golgotha (2015) - 1 voix
Ils ont dit :
« Une voix unique et reconnaissable entre mille. » (Alan)
« Qui d'autre a su offrir une incarnation aussi dark et carnassière au Glam metal ? » (Yann)
« J'adore le shock-rock, mais j'ai jamais adhéré à WASP. Peut-être découvert trop tard... Peut-être tout simplement l'imagerie qui collait trop au personnage et qui m'a finalement déçu une fois découvert car je m'attendais à... autre chose de bien plus fort.» (Stéphane)
Tracklist The Headless Children :
01. The Heretic (The Lost Child) - 07:22
02. The Real Me - 03:20
03. The Headless Children - 05:46
04. Thunderhead - 06:49
05. Mean Man - 04:47
06. The Neutron Bomber - 04:10
07. Mephisto Waltz - 01:28
08. Forever Free - 05:08
09. Maneater - 04:46
10. Rebel In The F.d.g. - 05:08
« Consequence of the city » est particulièrement impressionnant quand on considère qu'il s'agit d'un premier opus. C'est l'album qu'aurait dû faire Guns N' Roses à la place de « Chinese Democracy ». Il plaira aux fans de hard à cheveux. Par Ahasverus Et un de plus pour la Suède, un !
Comme de bien entendu, VELVETEEN QUEEN est de Göteborg, la capitale mondiale du rock.
Bien sûr, Samuel, Lukas, Noah et Isac, sont des potes de lycée.
Evidemment ils montent leur groupe en 2021 et ils participent à plusieurs festivals (Swedish Rock Festival, Skogsröjet. Festival, Kristianstad Rockfest, Malmöfestivalen) et tournent avec Nestor et Hardcore Superstar...
VELVETEEN QUEEN réalise tout ça avant même d'avoir sorti son premier long format, « Consequence of the city ». Autant en profiter quand on a le temps !
L'album « Consequence of the city » arrive le 03/05/2024. La routine, quoi...
Tant qu'on y est, pourquoi ne pas faire appel à Patrik Ullaeus ( In Flames, Arch Enemy, Europe, Evergrey, Amaranthe) pour les clips ? Bein allez, oui, pourquoi pas ?
Tout cela coule de source en Scandinavie, terre du Père Noël ! (CQFD)
Musicalement, VELVETEEN QUEEN c'est un hard-rock à la charnière des années 80/90, quand éclataient à l'international des groupes comme Skid Row et surtout Guns N' Roses, dont les Suédois peuvent revendiquer la paternité sans crainte d'aller aux tests ADN.
Sans singer Axl Rose et ses gimmicks, Samuel Nilsson n'est pas très éloigné du style et du timbre du chanteur de Lafayette. Dans une moindre mesure, il peut aussi rugir comme Steven Tyler (« Trauma », « Dreamer »).
« Consequence of the city », la galette, pose dix compositions qui retiennent l'attention d'emblée.
Les morceaux sont variés, solides, la lead nous charme sans en faire des caisses (« Take Me Higher », « Last Sensation »), la batterie cogne bien, les backing vocals sont en place, parfaits, et le groupe sait donner de la ballade avec brio sans chercher à faire un « November Rain II » tout en montrant une grande efficacité (« Stranger In The Mirror », « Dreamer »).
VELVETEEN QUEEN sait aussi propulser des riffs à la Skid Row (« Kenny's Blues »).
C'est bien fichu tout ça ! On a clairement affaire à un premier album d'exception. Jamais pris à copier par dessus l'épaule, le jeune VELVETEEN QUEEN n'est pas un poseur ; il a de l'étoffe et démontre de solides capacités d'écriture et de réalisation. Il a les muscles pour secouer le cocotier du hard-rock, pourtant doté de profondes racines.
« Consequence of the city » est particulièrement impressionnant quand on considère qu'il s'agit du premier long format d'un groupe qui n'a que deux ans d'existence et dont les membres auraient entre vingt et vingt-trois ans. C'est l'album qu'aurait dû faire Guns N' Roses à la place de « Chinese Democracy ». Il plaira aux fans de hard à cheveux, et le quatuor, même s'il n'a pas révolutionné la planète Metal avec sa came de facture classique, semble bien parti pour graver son nom sur l'écorce et manger sa part du gâteau de la scène internationale.
Une belle sortie hard-rock à découvrir et un groupe à suivre !
Est-ce dans les vieux BÖC qu'on fait la meilleure soupe ? Par Ahasverus
Une page du rock se tourne...
Après avoir écrit quelques-uns des standards les plus mémorables de l'histoire du Metal (« Astronomy », « E.T.I. (Extraterrestrial Intelligence) », « Godzilla »), après un retour aussi remarquable que réussi (« The Symbol Remains »), Blue Öyster Cult met un terme à une discographie initiée en 1972 en proposant le 12/04/2024 un album testamentaire : « Ghost Stories ».
Des histoires de fantômes qui sont en fait onze titres composés dans une période allant de 1978 à 1983, ainsi qu'un morceau de 2016 (« If I Fell ») et une cover du MC5 (« Kick Out The Jams »).
Ces fonds de tiroirs enregistrés avec le line-up de l'époque (assortis de quelques overdubs) n'avaient pas trouvé leur place sur les opus sortis au moment de leur création. Le groupe les juge pourtant suffisamment solides pour les sortir des oubliettes où il les avait laissés.
Est-ce dans les vieux BÖC qu'on fait la meilleure soupe ?« Ghost Stories » a le charme suranné des vieux albums de Blue Öyster Cült et ces compositions sont d'agréables pièces de rock (« We Gotta Get Out Of This Place », « Gun ») qui méritaient bien un support discographique.
Pour l'artwork, les Américain ont fait à nouveau appel au talent de l'illustrateur français Stan W Decker.
La production a demandé un soin particulier : George Geranios a dû transférer le son des bandes analogiques vers un support numérique. Steve Schenck et Richie Castellano se sont occupés du mixage tandis que Sam Stauff a pris en compte le mastering.
Disponible depuis le 12/04/2024, « Ghost Stories » est une sortie Frontiers Music Srl.
S'il n'a pas la puissance et le niveau du précédent album studio et si l'assemblage des morceaux peut paraître un peu décousu, « Ghost Stories » n'en est pas moins un beau cadeau d'adieu discographique aux fans.