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Chronique d’Album : NOW OR NEVER (Heavy Metal), “III” (2020)
Le 28/09/2020
Album : III (2020)
Genre : Heavy Metal
Origine : International
Par Ahasverus
Le Groupe :
"Ricky et moi, nous nous sommes connus à la maternelle et avons pour ainsi dire grandi ensemble, tant physiologiquement que musicalement. Ayant joué de nombreuses années avec lui pour des projets divers tels que Sultan, entre autres, il était logique qu’il me contacte pour créer Now Or Never lorsqu’il est revenu à Genève où je réside."
https://hardforce.com
"III"
L'Album :
"L'idée était une forme de continuité dans la thématique abordée sur l'album précédent et plus particulièrement de réutiliser l'esprit du modèle de T-shirt que j'avais également réalisé il y a 3 ans." (extrait de sa page Facebook)
Les Critiques :
- "Un album phénoménal."
https://www.themedianman.com - "Now Or Never a réalisé une bombe qui s'inscrira dans l'histoire de la musique, c'est certain."
https://www.themetalmag.com - "Un vrai monstre qui coche toutes les cases en ce qui concerne la musicalité, la puissance, la brutalité."
https://www.jacemedia.co.uk
Notre Avis :
L’exercice devient particulièrement périlleux quand ce chanteur s’appelle Amore, puisque la voix du grand Jo a la faculté d’apposer un sceau sur tout ce qu’elle touche.
Pour passer l’obstacle, Now Or Never a misé sur Steph Honde. Pas un manchot non plus ! Le chanteur parisien est le fondateur du supergroupe international Hollywood Monsters.
Maintenant, une oreille sur la galette...
Cessez le tir ! Aux résultats ! NoN III : treize impacts en cœur de cible. Le pari est donc parfaitement réussi pour la bande à Ricky Marx, l’ex-Pretty Maids.
Sans rien retirer à la prestation de Jo Amore et à la qualité des deux premiers albums de NoN (qu’on conseille également), Steph Honde enfile aisément un costume qu’on jurerait taillé sur mesure. Pas de changement de cap, il prend sa place dans la cordée et poursuit l’ascension initiée avec brio. Le niveau est extrêmement élevé et le nouveau partenaire a toute sa part dans le succès de l’entreprise.
Côté compos, le groupe sait d’où il vient : «Eyes Of A Child» sent bon les années Whitesnake, et les refrains addictifs se succèdent, («Until We Say Goodbye», «Ordinary World», «Winds Of Freedom»). Mais Now Or Never sait aussi surprendre, (la batterie judicieusement mise en avant sur «Another Chance»), et s’ancrer dans son époque («Woman In The Dark», «Point Of No Return»).
On sait la maestria et le métier de ces musiciens ; on soulignera la qualité de la production qui creuse encore la différence avec bon nombre de galettes.
« III » est à ranger sur le rayon de vos Whitesnake, du dernier Soto et de la discographie de Myles Kennedy (Slash, Alterbridge). C’est un grand, un très grand album de Heavy. L’illustration de ce qu’il advient quand un groupe réunit virtuosité, inspiration et moyens.
Plus simplement, « III » est indispensable. Achetez-le !
Les Liens :
https://www.onlynon.com
Facebook :
https://www.facebook.com/onlynowornever
Spotify :
https://open.spotify.com/album/4X8TTO7cxVjb7y3ciDvNhi
Toutes plateformes :
https://smarturl.it/NowOrNever-III
STRUGGLEHEAD rompt le silence (interview)
Le 27/09/2020
Genre : Heavy Thrash
Origine : Toulon
Interview réalisé par Ahasverus le 18/09/2020
Alex : Salut Ahasverus. Je suis Alex, guitariste et chanteur de Strugglehead.
Le projet de faire de la musique ensemble débute en 2011 quand, avec Robin, le batteur, et quelques potes du lycée, nous montons un premier groupe de reprises pour le plaisir. Rapidement, avec Robin, nous commençons à écrire nos premières bribes de compos et nous commençons à prendre la chose beaucoup plus au sérieux. Cependant, à cette période de nos vies, ce n'était pas évident de trouver des gens prêts à s'investir, donc à l'été 2015, après plusieurs changements de line-up, nous ne nous retrouvons finalement plus qu'à deux avec Robin. Nous avons fait quelques auditions, mais nous ne nous voyions pas jouer avec un total inconnu qui, potentiellement, pouvait encore nous planter. Après un tour au Hellfest où j'ai pu voir pas mal de power trios qui déboîtaient, j'ai proposé à David, mon frère, batteur de formation, de prendre la basse afin de continuer à trois, quitte à perdre un peu du côté "Metal à deux guitares" que nous voulions au départ, car je savais que lui ne me ferait pas faux bon et s'intègrerait sans problème.
David : Je n'étais pas réellement partant au départ, je n'avais jamais joué de la basse hormis sur Guitar Hero... Donc j'ai refusé au début. Mais arrivé à mon anniversaire, j'ai déballé une basse et un ampli de leurs emballages, et je me suis dit : "Bon, bein autant essayer".
Robin : À partir de là, nous avons stabilisé le line-up, repris les répètes et l'écriture, et depuis 2015 nous n'avons pas bougé et nous tenons bon ! Et Strugglehead était officiellement créé.
Alex : C'est une musique multi-influencée, sans attache particulière. Certains diraient que nous nous cherchons encore, mais de mon point de vue, j'ai écrit ce qui me venait au gré de mes envies et des sujets que je voulais aborder.
Robin : Plus précisément, nous sommes surtout influencés par le Thrash Metal et le Heavy Metal mais nous piochons d'autres influences dans nos goûts personnels. Peut-être que pour le deuxième album notre façon d'écrire sera plus uniforme, plus cadrée, mais rien de concret n'est encore fixé.
Dav : Pour citer un exemple, une fois Robin a parlé d'écrire quelque chose sur la peur des profondeurs marines. Alex s'est très vite lancé dans l'écriture du morceau, nous avons ajouté des passages en 3/4 pour rappeler les sea shanties (les chants de marins). Le thème du morceau part des abysses et remonte à la surface, musicalement on part de très calme et on monte jusqu'au point de rupture où on arrive à la surface... En gros, nous avons globalement une manière assez conceptuelle de composer.
Une démo sur votre parcours ?
Robin : Oui, nous avons sorti une démo en 2018, assez modeste, pour pouvoir démarcher facilement les salles en leur présentant ce que nous faisions, pour commencer à nous faire entendre. Ça coïncide avec le moment où nous avons commencé à monter sur scène.
Alex : Nous avons enregistré cette démo, avec d'abord quatre titres (Jack, Oh Jack ; From First To Last ; Under A Mask et Spins Your Head). Nous avons tout enregistré à la maison, comme dit Robin, de manière très modeste. Nous avons enregistré les guitares et la basse en passant par des plugins directement en line sur le logiciel, et la batterie sur un programmateur. Enfin bref, nous n'étions pas du tout satisfaits. Du coup, nous avons sorti un cinquième titre, “Silicosis”, où nous avons enregistré en live avec de vrais amplis, une vraie batterie, de vrais micros.
Dav : Ca nous a permis d'écouter nos morceaux d'un point de vue extérieur. Nous avons pu nous rendre compte de choses qui n'allaient pas ou qui ne nous plaisaient plus, du coup nous avons changé pas mal de choses, notamment sur “Jack, Oh Jack”, que nous avons quasiment reprise à zéro.
Un album dont la réalisation a été contrariée par la pandémie ?
Robin : Contrariée par la pandémie, oui et non. Nous devions initialement sortir notre album en avril 2020, car nous étions passés en studio en janvier et il nous tardait d'avoir une copie dans les mains de notre album, après tant de travail...
Alex : Finalement, nous avons dû reporter ça à septembre, et ça a été un mal pour un bien, car nous avons eu le temps de bien peaufiner les détails de l'artwork, de la mise en page, de la pochette d'album etc.. Et même pour les morceaux, Rondi Gordon, notre ingé qui nous a enregistrés au Studio 18 à Hyères (petite pub), nous a proposé dans l'été de retoucher les mixes car il avait trouvé par hasard un détail qui rendait le tout beaucoup plus sympa.
Dav : Et surtout, en sortant du studio, nous n'avions plus d'argent du tout dans notre cagnotte qui avait été remplie grâce aux entrées de nos concerts. Donc si nous avions fait la sortie en avril, nous aurions réellement dû nous ruiner pour payer le merch et les CDs. Là, ça nous a permis de voir plus loin et de mieux prévoir. Une bonne leçon que nous retiendrons pour le prochain album !
Alex : Eh bien pas loin ! Déjà, certains morceaux de l'album existaient avant même que Dav ne rejoigne le groupe et que Strugglehead ne soit vraiment formé. Puis nous avons recruté Dav fin 2015, le temps qu'il prenne ses marques, qu'il apprenne ce que nous jouions déjà, donc la première année a été relativement peu productive, nous avons surtout bien rodé ce que nous avions déjà. Le temps a passé, nous avons continué à travailler sur l'écriture, sans nous imposer de date limite. Nous avons écrit sur ce que nous avions envie, nous n'avons pas voulu nous précipiter. Résultat, en 2019, notre set était bouclé et rodé par quelques concerts locaux, et nous avons donc réservé le studio pour la première semaine de janvier 2020.
Robin : Par manque d'expérience, nous avions réservé trop peu de jours, car cinq jours n'étaient pas suffisants pour enregistrer à la perfection l'album, d'autant qu'Alex a été malade sur les derniers jours, et ça a eu un impact sur les prises chant. Rondi Gordon, l'ingé son, nous a offert un jour pour peaufiner le tout, et nous avons donc eu six jours pour enregistrer l'album (encore merci à lui) ! Nous avons aussi ré-enregistré deux ou trois prises de chant à la maison sur une journée, pendant le confinement, ce qui peut arrondir la durée d'enregistrement à une semaine. Cela a permis à Alex de refaire les prises où il avait été malade.
Dav : A un moment, nous nous sommes demandé si nous ne devions pas encore rallonger de quelques jours pour faire un truc parfait. Puis nous en avons discuté et nous nous sommes dit que c'était parfait comme c'était, que ça nous ressemblait, que c'était une musique de “sauvages” comme dirait notre père, que c'était loin d'être chirurgical mais que c'était ce que nous voulions : un truc vivant et humain.
Robin : Nous avons fait une petite date en 2017, mais nous considérons notre vraie première date comme étant celle de septembre 2018, au MC Morts Subites à La Garde. Cela fait donc deux ans, une période sur laquelle nous avons joué une dizaine de fois en tout. Le plus loin où nous avons joué est Nice. Nous avions d'autres dates de prévues, notamment le festival Feria In Hell à Nîmes au mois de mai 2020, organisé par l'association La Forge... Mais c'est malheureusement tombé à l'eau à cause du Covid. Nous avions aussi des dates prévues à Marseille, Aix-en-Provence, et des discussions pour aller jouer même un peu plus loin... Mais cela attendra !
Alex : Oui, enfin ! C'est la concrétisation, le projet prend enfin vie, comme un écrivain qui tient son premier bouquin dans les mains, nous tenons notre premier CD ! Nous ne remercierons d'ailleurs jamais assez les bénévoles qui nous ont aidés à le finaliser, Aurélien Chevalier pour la typo, Mélody Techer pour l'artwork complet, Rondi Gordon pour ses heures supp, sa patience et sa dévotion légendaires sur le mixage et le mastering, le soutien moral et physique de nos proches... Nous aurions vraiment fait un truc tout pourri sans eux !
Dav : Maintenant, nous allons préparer la suite, à savoir, essayer de viser les plateformes de streaming musical pour toucher le plus de monde possible. Et surtout, nous avons hâte de nous remettre à composer pour attaquer notre deuxième album.
Robin : Merci Ahasverus, c'était notre première interview. Vous apportez un coup de pouce aux petits groupes dans leur promo et c'est une aide précieuse, continuez !
- Alex : Guitare, chant
- David : Basse
- Robin : Batterie
- Démo (2018)
- “When Silence Fades” (2020)
- Facebook :
https://www.facebook.com/StruggleheadBand - Ecouter ou acheter “When Silence Fades” :
https://strugglehead.bandcamp.com/releases
- Les photographies de Strugglehead ont été réalisés par
Yves Thévenin
(https://www.facebook.com/esby.photo#!/esby.photo) - Icesphotos
(https://www.facebook.com/icesphotos/)
Les 100% Bio de Pépé St@kaTTo : BIG BERNIE
Le 25/09/2020
Album : G (disponible le 25 septembre 2020)
Genre : Instrumental / Math Rock / Prog’ 70 / Jazz
Influences : Battles / Yawning Man / King Crimson / Yes
Origine : Dunkerque / Lille
Par Pépé St@kaTTo
Line-up
- Paul Muszynski – Guitare électrique et classique, Mandoline
- Charly Millioz – Basse, guitare électrique et classique
- Clement Glasset – Batterie
Le Groupe
La discographie
«Yersey» - juin 2016 (6 titres)
- Exploration d’une cité engloutie
- Rocheuse
- Coup de pince
- L’îlot
- Aftuur
«B» - juin 2019 (4 titres)
- Kepler
- Banane pour échelle
- Hard a lot
«I» - février 2020 (4 titres)
- Nul si découvert
- Figue vernie
- Les crêtes et les creux
«G» - septembre 2020 (4 titres)
- Pizzaville
- Grand Splash
- Van Krupuk
Matoscope
- Batterie avec des fûts Mapex en bouleau, baguettes Elvin Jones signature de chez Pro Mark.
- Basse : Warwick Dolphin Pro II (de 91) / Status Shark passive (de 97) / Squier Bass VI (réédition 2014) + tête Peavey T-Max et un cab Chillbass 2x12".
- Pedalboard Basse : TC Electronic PolyTune /MXR Bass Octave Deluxe / Boss ODB-3 Bass Overdrive (modifiée) / Electro-Harmonix Memory Boy / Vox Time Machine / DOD FX62 Bass Stereo Chorus /DOD Phasor 460
- Guitares : Squier Stratocaster (‘80) & Fender Mandocaster + amplis Fender Hot Rod Deluxe & Vox AC30 (en stéréo)
- Guitare pedalboard : TC Electronic PolyTune / Electro-Harmonix POG2 / Fulltone OCD / Dunlop Crybaby / JHS The AT+ (Andy Timmons Signature) / Electro-Harmonix Big Muff Pi with Tone Wicker / Roland Space Echo / Eventide Modfactor / Strymon Big Sky / TC Electronic Ditto x4
- Sur scène les voix réalisées en studio ou les nappes/ambiances sont ainsi lancées à partir d'un Digitech JamMan.
Les 100% Bio de Pépé St@katto : INVADING CHAPEL
Le 21/09/2020
Dernier album paru : Ghostly Rock Season (2020)
Genre : Gothique Rock
Influences : Type O negative, The Cult, The Sisters Of Mercy
Origine : Paris
Par Pépé St@katto
Le Groupe :
La première maquette prête sera l’occasion pour Invading Chapel de proposer en 1997 «Dark Christ» au magazine Guitar Part qui, convaincu du potentiel du projet, l’intègrera à sa compil’ mensuelle après une séance de «réenregistrement» dans un studio pro parisien.
En décembre 2015 et avril 2016, les titres “Nocturnal Romance”, “Midnight Serpent” et “Vampirised” seront sur les compilations “Messages Beyond Dark Dreams I, II et III” du label Russe Darkpage.
En 2017 et 2018, les titres “Injury And Sin” apparaîtront sur la compilation “Do What Thou Wilt Records” (Grèce) et “Paris Spleen” sur “At Sea Compilations” (Allemagne).
La discographie :
- Invading Chapel (Demo Tape - 1996)
- Invading Chapel (Demo Tape - 1997)
- Songs Of The Night (CD - 1999)
- Notre Blâme De Paris (CD - 2003)
- Gothic Is Just About Music (CD - 2005)
- Snow After Fire (CD - 2006)
- Cursed By System (CD - 2007)
- Soul's Peace Is Riding In Trance (CD - 2012)
- Gloom Over This Hope (CD - 2014)
- Anime Erranti (EP, Download - 2015)
- Vampirised (EP, Download - 2016)
- Insanity (Single, Download - 2020)
- Ghostly Rock Season (LP - 2020)*
* cet album est dédicacé à la maman de Loïc disparue en octobre 2019 (RIP).
Invading Chapel a de très bons retours également de l'étranger comme en témoignent les interviews et chroniques des magazines comme The Mick (Angleterre), Elegy Iberica (Portugal), Rock & Folk (France) ou le magazine allemand Amboss Mag.
Faits d’armes :
- 2007 1ère partie du groupe américain The Crüxshadows au « Badaboum / Scène Bastille » (75)
- 2010 « Festival Esprit Rock » au « Triel Festival Open Air » (78)
- 2011 Festival « Gothic & Metal Spirit » La Miroiterie (75)
- 2013 « Fest’ In Rock d’Alfortville» Espace Culturel Jean Macé (94)
- 2013 1ère partie du groupe suédois The Dead And Living Au Scop Club (75)
- 2014 passage à la « Grosse radio Metal
Line-up actuel :
Ancien membres :
Lullangel (Keyboards) – Onirik Illusion
Thierry Maurice (Drums)
Jan D (Guitar)
Sylvain Savoye (Guitar)
Sly (Guitar)
Morticia (Vocals)
Les liens :
Chronique d’Album : UNDER THE CONFLICTS (Punk Hardcore), “Nanar Nation” (2019)
Le 15/09/2020
Album : Nanar Nation (2019)
Genre : Punk Hardcore
Origine : Vendée
Par Ahasverus
Le Groupe :
“Under The Conflicts c’est du Nanarcore, mais le Nanarcore c’est quoi donc ?! C’est un Punk-Hardcore qui décolle les cervicales, qui te donne envie de faire des moulinets et qui te fait marrer en même temps, tout pour passer un bon moment avec une bière à la main (vide de préférence si t’es dans le pit).”
http://www.metalobs.com
“Nanar Nation”
L'Album :
Les Critiques :
http://www.french-metal.com
http://www.loudtv.net
http://lautremonde.radio.free.fr
Notre Avis :
Les Liens :
CHRONIQUE D'ALBUM : WIRE EDGE (Cold Wave / Prog' Metal) Workhorse Empire (2020)
Le 14/09/2020
Album : Workhorse Empire (2020)
Genre : Cold / Prog' Metal
Origine : Paris
Par Ahasverus
Le Groupe :
“Workhorse Empire”
L'Album :
Les Critiques :
- "Wire Edge s'autorise des moments instrumentaux, quelques envolées apaisées, pour mieux nous scotcher au mur du son. "
http://www.dubucsblog.com - " Un bel équilibre et un son remarquable."
Rock'n Force - "La musique de Wire Edge capte nos moindres émotions et nous enveloppe de sa trame aux effluves Toolienne."
https://rockmetalmag.fr - "Je me rallie à l’avis général, je le classe volontiers dans le top 5 des meilleurs albums que j’ai pu écouter cette année et lui souhaite un succès mérité."
https://satanboucheuncoin.com - "Les Parisiens nous impressionnent par leur palette technique et une empreinte mélodique marquante."
https://www.lagrosseradio.com
Notre Avis :
Le lecteur : Faut-il laisser Wire Edge filer chez les Chinois en toute discrétion ?
Ahasverus : Non !
Le lecteur : C'est un peu court Ahasverus. Peux-tu développer ?
Ahasverus : S'il faut le temps d'une première piste pour rentrer dans sa cold wave, Wire Edge captive très vite et l'intérêt s'accroit tout au long de l'écoute de ce “Workhorse Empire”. Guidés par une voix tranquille et enveloppante, sa musique et son côté clinique nous portent vers le Paradise Lost (Heart Locked) du début des années 2000. Mastodon, Sisters of Mercy ou Katatonia sont cités ailleurs (à chacun sa madeleine !).
L'album se pare de développements Prog' (Comedian) et ses guitares se permettent (Moutains to defeat, Workhorse, Plans Within Plans) d'aller taquiner Metallica sur son propre terrain.
L'heure et les six minutes de “Workhorse Empire” passent agréablement. Il est si équilibré qu'on aimera l’écouter d'une traite plutôt que d'en éparpiller les chansons.
Le niveau des musiciens interpelle... Pour réussir une telle recette, pour aligner un tel songwriting sur un premier album, il faut avoir une sacrée expérience de la tambouille ! Celle de Wire Edge mérite les étoiles : “Workhorse Empire” est l'une des galettes les plus savoureuses de l'année. La grande cuisine à ce prix-là (sept euros sur Bandcamp) ne se refuse pas : écoutez, likez, achetez, savourez !
Les Liens :
Chronique d'Album : ROSENKREUZ (Metal Indus et Gothique), Crystal City (2019)
Le 12/09/2020
Album : Crystal City (2019)
Genre : Metal Indus/Gothique
Origine : Lyon
Par Ahasverus
Le Groupe :
"Crystal City"
L'Album :
"Je qualifierais ''Crystal City'' de « Bildungsroman » des temps modernes. Il s’agit d’un conte initiatique où le protagoniste, jeune et inexpérimenté, évolue dans un monde absurde qu’il ne comprend pas. Les onze titres de l’album constituent une suite de tableaux mettant en scène son histoire, dans un univers décadent (« Sex, Drugs & Rosenkreuz »)."
Les Critiques :
- “Rosenkreuz assume pleinement de ne pas faire dans l'avant-garde élitiste et propose un metal industriel accrocheur taillé pour secouer le public des festivals allemands”
https://www.verdammnis.com - “Quel album !”
https://www.soilchronicles.fr - “Ce qui semble marquant, de prime abord, c'est le chant théâtral, presque dramatique du chanteur qui nous plonge au plus près de l'essence du groupe empreint d'une présence futuriste.”
http://www.loudtv.net - “L'album est une réussite.”
http://www.french-metal.com
Notre Avis :
Les Liens :
- Le site :
https://www.rosenkreuz.fr - Le Bandcamp :
https://officialrosenkreuz.bandcamp.com/album/crystal-city - Le Facebook :
https://www.facebook.com/officialrosenkreuz
CHRIS CAPRIN - "My Way..." (récit - 2020)
Le 10/09/2020
Un récit très digeste : véritable couteau suisse, Chris Caprin écrit aussi efficacement qu'il martelait les fûts des regrettés Heavy Duty (écoutez leur discographie : https://open.spotify.com/artist/6MVGFcyv5mkNxQ9NA5m5Jy). Madeleine de Proust, il ranime le Vélosolex, le service militaire, et mille choses vécues qui viennent se rappeler à votre bon souvenir.Affichant un penchant pour une certaine forme de misanthropie, il s'excuse, mais assume tout. Son ton reste nuancé, excellant à se faire comprendre à demi-mots, rappelant qu' à cinquante ans, "on commence à avoir du mal à distinguer les lettres de près, mais en revanche, les cons, on les voit arriver de loin !"Très fluide, la lecture de "My Way" ne prendra pas plus d'une après-midi, tandis qu'on aurait aimé que Chris nous montre encore un layon ici ou là sur un parcours où le bruit des motos le dispute à celui des guitares.L'ouvrage de deux-cent quatre-vingt pages est agrémenté d'un livret photos. Il est disponible pour vingt euros port compris auprès de son auteur.